Table des matières
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Bernard Pingaud et le temps de l’écriture
- Pages : 389 à 392
- Collection : Études de littérature des xxe et xxie siècles, n° 83
Chapitre d’ouvrage : Précédent 21/21
Table des matières
ABRÉVIATIONS 7
INTRODUCTION
Le trajet de la contradiction 9
PREMIÈRE PARTIE
LE « CYCLE CONJUGAL »,
DE L’ANALYSE À L’HYPOTHÈSE
MON BEAU NAVIRE (1946), « UN DE CES RÉCITS D’ADOLESCENCE » 37
Polyphonie et quête de sens 40
« Jean flottait à la surface de la vie » 43
Le couple comme « solution » 49
L’AMOUR TRISTE (1950), ENTRE « DRAME BOURGEOIS »
ET ESSAI SUR LE COUPLE 53
« Drame bourgeois » et « prolongement » philosophique 55
Microcosme et macrocosme 57
« Consentement » et écriture 64
L’« écrivant » se découvrant « écrivain » 69
LE PRISONNIER (1958), DE L’« ANALYSE » À L’« HYPOTHÈSE » 77
« Emprisonné dans l’absence » 78
Indécidabilité du péritexte, indifférence du personnage 88
390Temporalité narrative et après-coup 91
Le motif de l’« autrefois » 98
L’émergence de la scène d’écriture 107
L’« expérience » et l’impossible 115
DEUXIÈME PARTIE
LE « CYCLE DU PÈRE »,
VERS UN « ROMAN PSYCHANALYTIQUE »
LA SCÈNE PRIMITIVE (1965), LA GENÈSE DE L’« INDIFFÉRENT » 129
La « manie de la question »,
l’épuisement de l’« hypothèse » 132
Des « moments » qui taisent leur nom 136
L’épiphanie du réel et la venue à l’écriture 141
La ligne et le cercle 147
LA VOIX DE SON MAÎTRE (1973), « ROMAN PSYCHANALYTIQUE »,
RETOUR AU PÈRE 151
De l’« hypothèse » au « roman psychanalytique » 152
« Chemin à frayer », « test projectif »,
« inconscient du texte » 154
Le retour au père 163
La triple scène, le narrateur en analyste 174
La voix et le cercle 183
391TROISIÈME PARTIE
ROMANS DE LA MATURITÉ,
OU LE CYCLE DE LA « VRAIE VIE »
ADIEU KAFKA (1988), LE DEVENIR-ÉCRIVAIN
ET L’HÉRITAGE IMPOSSIBLE 203
La figure de Kafka 203
Une longue genèse 210
« L’exactitude » et « l’ensemble » 214
Les malentendus de la réception 217
Un roman de l’héritage impossible 219
BARTOLDI LE COMÉDIEN (1996),
LE « FILON SECRET » ET LA « LÉZARDE » 233
La narration et son commentaire 236
D’un usage du matériau autobiographique 238
La « lézarde », la « profondeur cachée », le « filon secret » 243
Retour sur la « vraie vie » 248
AU NOM DU FRÈRE (2002) ET MON ROMAN ET MOI (2003),
LE ROMAN PAR-DELÀ LA THÉORIE 255
Vivre et écrire, relance du motif 256
L’empêchement 265
L’intratexte, ou l’impossible totalisation 268
Le désir d’écrire et le féminin 275
Les deux romanesques et le « miracle » 277
Mon roman et moi : la question du destinataire 281
392QUATRIÈME PARTIE
LES ROMANS « COMME ÉCLAIRÉS DU DEDANS »,
OU LE CYCLE DE LA RÉTROSPECTION
L’HORLOGE DE VERRE (2011)
« Ai-je eu vraiment une vie ? », une question en partage 293
L’effraction de la mort, la crise du sens 295
Identité narrative et « glissement des mots » 300
« Avoir une vie ? » 309
VOUS (2015)
« Être » et « vivre », ou le trajet de l’adresse 315
Le trajet de l’adresse et le « malentendu » 317
Diptyque féminin et métonymie du désir 325
« Être » et « vivre » 336
Dernières remarques sur l’intratextualité 342
CONCLUSION
Les temps de l’écriture de Bernard Pingaud 347
ANNEXE
« Réponses de Bernard Pingaud à huit questions
sur son œuvre et sa pratique d’écrivain » – juillet 2014 357
BIBLIOGRAPHIE 375
INDEX DES PRINCIPAUX NOMS CITÉS 385
- Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
- ISBN : 978-2-406-08728-1
- EAN : 9782406087281
- ISSN : 2260-7498
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-08728-1.p.0389
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 17/07/2019
- Langue : Français