Il reste trop souvent l’oubli. L’oubli ne disparaît pas vraiment. Il nous semble qu’il y a des manques, des vides, qu’il n’y a rien ou plus rien. Il n’en est rien. L’oubli, c’est surtout une simplicité volontaire : ne pas oublier, et sans doute habiter l’oubli. Y glaner autant que faire se peut « quelques petits riens » dirait Roger Laporte.
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