TY - EJOUR A1 - Cuif, Anne-Gaëlle TI - « La dolcezza […] / che, non gustata, non s’intende mai » (Par. III, 38-39) - La suavité synesthétique comme rhétorique thérapeutique dans la Comédie T2 - Revue des études dantesques 2022, n° 6. varia JO - Revue des études dantesques (ISSN 2556-756X), 6, 2022 DO - 10.48611/isbn.978-2-406-14657-5.p.0083 SN - 2556-756X SP - 83 EP - 106 AB - La suavité synesthétique constitue une forme rhétorique et un « jeu » intellectuel essentiel dans l’itinerarium mentis de la Comédie et en particulier du Paradis. Dante déploie un langage de l’intersensorialité spirituelle qui seconde la synthèse perceptive de l’ineffable et agit ainsi comme une forme de « suave remède » de l’intellect et de l’expression poétique. Sur la via à la dulcedo Dei, l’auteur développe une technique d’écriture où l’expérience esthétique devient œuvre sotériologique. PY - 2023 DA - 2023/03/15 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris KW - Dante, douceur, synesthésie, métaphore, sensation, salut LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/revue-des-etudes-dantesques-2022-n-6-varia-la-dolcezza-che-non-gustata-non-s-intende-mai-par-iii-38-39.html Y2 - 2024/07/11 ER -