TY - EJOUR A1 - Libral, Florent TI - « Je ne sçay quoy d’éclattant et de noir » - Rhétorique du clair-obscur et émergence du sujet dans Les Peintures morales de Pierre Le Moyne (1640 et 1643) T2 - Revue Bossuet 2022, n° 13. Pierre Le Moyne (1602-1671) : l’écriture d’un jésuite JO - Revue Bossuet (ISSN 2494-5102), 13, 2022 DO - 10.48611/isbn.978-2-406-14377-2.p.0051 SN - 2494-5102 SP - 51 EP - 76 AB - L’éloquence jésuite dite « des peintures » est tributaire d’une foisonnante imagerie optique, qu’il s’agisse de lumière, de miroirs, d’anamorphoses… L’article propose d’interroger le versant ténébriste de ce dispositif. Les Peintures morales et Les Hymnes montrent que le clair-obscur joue un rôle central dans la sophistique sacrée de Pierre Le Moyne, en suggérant la rencontre de la clarté divine avec un sujet humain aveuglé par le péché et la finitude, mais capable de la recevoir. PY - 2022 DA - 2022/12/14 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris KW - rhétorique sacrée, poétique sacrée, métaphysique de la lumière, miroir, anamorphose, ténébrisme, sujet moderne, révolutions scientifique, écriture mystique, paradigme perspectif. LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/revue-bossuet-2022-n-13-pierre-le-moyne-1602-1671-l-ecriture-d-un-jesuite-je-ne-scay-quoy-d-eclattant-et-de-noir.html Y2 - 2024/05/07 ER -