TY - ECHAP A1 - Duru, Audrey TI - Poétique de la traduction chez Maurice Scève - La Deplourable Fin de Flamete (Lyon, 1535) et les psaumes 26 et 83 (Lyon, 1542) T3 - Études et essais sur la Renaissance M1 - 121 DO - 10.15122/isbn.978-2-406-09010-6.p.0221 SN - 978-2-406-09010-6 SP - 221 EP - 237 AB - L’obscurité de la langue scévienne s’évalue par rapport à d’autres normes langagières. La notion de projet de traduction (Antoine Berman), appliquée à Flamete et aux psaumes 26 et 83, permet de mettre en relation, chez Maurice Scève, un examen de la langue, un rapport au fait littéraire et une inscription sociale. La langue scévienne est-elle un usage du français qui suspend son institutionnalisation comme langue royale (1539) ? Nous constatons du moins qu’elle déjoue les jargons cléricaux et universitaires. PY - 2020 DA - 2020/01/22 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris KW - Juan de Flores, statut du traducteur, binômes synonymiques, hispanismes, littérarisation, Clément Marot, Ulrich Zwingli, Pierre Gringore, intertextualité, clerquois LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/maurice-sceve-le-poete-en-quete-d-un-langage-poetique-de-la-traduction-chez-maurice-sceve.html Y2 - 2024/04/25 ER -