TY - ECHAP A1 - Cherbi, Massensen TI - L’armée française et les putschs algérois de mai 1958 et avril 1961 - Entre instrument de la Ve République et gardien autoproclamé de « l’ordre constitutionnel républicain » T3 - Rencontres M1 - 592 DO - 10.48611/isbn.978-2-406-15064-0.p.0093 SN - 978-2-406-15064-0 SP - 93 EP - 120 AB - Le pouvoir modérateur exercé, de facto, par l’armée française, à l’occasion des putschs algérois de mai 1958 et d’avril 1961, en a fait à la fois un instrument de la ve République et le gardien autoproclamé de la Constitution de 1958. L’armée fut ainsi qualifiée, entre 1958 et 1962, de défenderesse des « intérêts supérieurs de la France », de garante de « l’ordre constitutionnel républicain » ou encore de « gardienne de la liberté et du territoire national ». PY - 2023 DA - 2023/08/09 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris KW - Coup d’État, gardien de la Constitution, guerre d’Algérie, légalité républicaine, pouvoir modérateur, ordre public, putsch LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/les-forces-armees-gardiennes-des-institutions-et-des-libertes-l-armee-francaise-et-les-putschs-algerois-de-mai-1958-et-avril-1961.html Y2 - 2024/06/17 ER -