TY - ECHAP A1 - Schang-Norbelly, Marie-Cécile TI - « Ne faites pas chanter Apollon ni Orphée » - Les enjeux de la référence antique dans Le Jugement de Midas, opéra-comique d’Hèle et Grétry (1778) T3 - Le dix-huitième siècle, n° 24 in Rencontres M1 - 328 DO - 10.15122/isbn.978-2-406-06645-3.p.0325 SN - 978-2-406-06645-3 SP - 325 EP - 335 AB - Entre 1774 et 1779, Gluck impose à Paris ses tragédies lyriques, et avec elles ce qu’il est d’usage d’appeler sa « réforme » de l’opéra. À la même époque Grétry compose la partition du Jugement de Midas, où il laisse transparaître une certaine admiration pour Gluck, tout en évoquant les raisons pour lesquelles sa méthode ne lui paraît pas complètement satisfaisante. Que dit-il de la musique de Gluck et de sa propre musique, lorsqu’il présente sa pièce comme une « réponse d’Apollon à Orphée » ? PY - 2018 DA - 2018/04/18 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/les-arts-du-spectacle-et-la-reference-antique-dans-le-theatre-europeen-1760-1830-ne-faites-pas-chanter-apollon-ni-orphee.html Y2 - 2024/07/16 ER -