TY - ECHAP A1 - Goubier, Geneviève TI - Rousseau et la vertu des femmes - Du paradoxe à la doxa T3 - xviiie siècle, n° 15 in Masculin/féminin dans l’Europe moderne M1 - 34 DO - 10.48611/isbn.978-2-406-12584-6.p.0199 SN - 978-2-406-12584-6 SP - 199 EP - 218 AB - Rousseau pense la vertu féminine selon deux modalités : une nécessité sociale et une nécessité morale, d’où une appréhension paradoxale de l’éducation des filles et une dialectique douloureuse, élaborée entre illusion et souffrance. L’historicité de la notion réduit le paradoxe à la doxa de la sensibilité bourgeoise, tombeau ou trône de la vertu. Rousseau invite à l’invention d’une vertu féminine qui ne serait ni imitation ni reproduction d’un modèle, mais appropriation réfléchie et consentie. PY - 2022 DA - 2022/03/16 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris KW - Morale bourgeoise, éducation, société, nature, dénaturation, bonheur, souffrance, roman, sensibilité, énergie LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/la-vertu-feminine-de-la-cour-de-sceaux-a-la-guillotine-rousseau-et-la-vertu-des-femmes.html Y2 - 2024/05/10 ER -