TY - EJOUR TI - « Toutes les Belles au Bois dormant l’attendaient » Le devenir-conte de l’œuvre durassienne T2 - La Revue des lettres modernes 2024 – 5, n° 8. Duras, mythe(s), écriture et création suivi de Lectures des Petits Chevaux de Tarquinia DO - 10.48611/isbn.978-2-406-16974-1.p.0117 SN - 0035-2136 AB - Dès ses premières œuvres, Marguerite Duras s’est inspirée de la tradition européenne des contes pour leur emprunter leur pouvoir d’enchantement, qui permet de plonger dans l’émerveillement propre à l’enfance. À partir de 1980 et singulièrement dans La Pluie d’été et L’Été 80, cet usage jusqu’alors implicite devient explicite ; la romancière veille cependant à neutraliser la dimension moralisatrice que l’on prête d’ordinaire aux contes. PY - 2024 DA - 2024/05/29 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier KW - conte, intertextualité, enfance, forêt, moralité, enchantement Y2 - 2024/06/29 ER -