TY - EJOUR A1 - Brown, Llewellyn TI - Beckett, le souffle et le corps - Un « gage de vie » T2 - La Revue des lettres modernes 2020 – 9. Samuel Beckett, un écrivain de l’abstraction ? JO - La Revue des lettres modernes (ISSN 0035-2136), 2020 – 9 DO - 10.15122/isbn.978-2-406-11051-4.p.0237 SN - 0035-2136 SP - 237 EP - 279 AB - Le souffle n’entre pas dans des définitions spéculaires du concret, déjouant aussi l’abstraction comme promesse d’une harmonie ultime. Il témoigne d’une part insaisissable de l’existence, qui est aussi le socle du vivant. Il fait signe d’une part d’étrangeté au cœur de l’être parlant, et qui ne connaît pas de fin. Paradoxalement donc, ce qui demeure impalpable est éminemment concret. La seconde partie de cette étude porte sur la pièce emblématique : Souffle. PY - 2020 DA - 2020/12/09 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris KW - corps, psychanalyse et littérature, mélancolie, pulsion, traumatisme de naissance, parole, calligraphie chinoise, angoisse, vanités LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/la-revue-des-lettres-modernes-2020-9-samuel-beckett-un-ecrivain-de-l-abstraction-beckett-le-souffle-et-le-corps.html Y2 - 2024/06/27 ER -