TY - ECHAP TI - De L'Homme que j'ai tué à Frantz La paix n’aura pas lieu T3 - Littérature des xxe et xxie siècles, n° 40 DO - 10.15122/isbn.978-2-406-10583-1.p.0263 SN - 978-2-406-10583-1 AB - À travers l’analyse de la pièce L’Homme que j’ai tué (1921) de Maurice Rostand, du film Broken Lullaby (1932) d’Ernst Lubitsch et du film Frantz (2016) de François Ozon, cet article veut revenir sur l’histoire d’un fantasme : celui du soldat français, vivant, qui vient remplacer dans sa famille le fils allemand mort. Un fantasme qui repose sur l’idéal d’un projet réconciliateur entre la France et l’Allemagne, et dont l’esthétique cinématographique met aussi à jour les limites. PY - 2021 DA - 2021/02/17 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier KW - Théâtre, paix, aspérités, réconciliation, victime Y2 - 2024/07/18 ER -