TY - EJOUR A1 - Sirvent Ramos, Ángeles TI - Le « domaine » alicantin de Valery Larbaud T2 - Cahiers Valery Larbaud 2024, n° 60. Valery Larbaud et les mondes espagnol et hispano-américains. Nouvelles approches critiques JO - Cahiers Valery Larbaud (ISSN 2429-3237), 60, 2024 DO - 10.48611/isbn.978-2-406-16456-2.p.0165 SN - 2429-3237 SP - 165 EP - 188 AB - Valery Larbaud, comme on le sait bien, a vécu à Alicante – ville qu’il a considérée sa « terre » – de 1916 à 1920. Même si quelques chercheurs pensaient qu’il s’agissait d’une ville de province de troisième rang, Larbaud y a côtoyé des intellectuels et des artistes qui ont forgé ce qu’on a appelé « l’âge d’argent » d’Alicante. Notre objectif dans cet article est de faire connaître ses relations avec ceux-ci : l’économiste Germán Bernácer et son frère Julio, poète moderniste, le compositeur Óscar Esplá, le peintre Ramón Ferreres, les écrivains Eduardo Irles et José Guardiola, entre autres. Nous allons par la suite mettre en relief le travail intellectuel de Larbaud, outre la traduction de Butler, pendant son séjour alicantin ; ses initiatives pour la traduction en France du romancier alicantin Gabriel Miró, qu’il considérait l’un des meilleurs écrivains espagnols. Nous traversons encore l’œuvre larbaldienne – sans négliger son journal et sa correspondance – pour relever l’empreinte que cette ville a laissée dans ses textes, et nous finirons en faisant connaître les témoignages d’amitié et de reconnaissance parus dans la presse alicantine après la mort de notre auteur. PY - 2024 DA - 2024/06/19 DP - Classiques Garnier PB - Classiques Garnier CY - Paris KW - Valery Larbaud, Alicante, Gabriel Miró, traduction, journal LA - fre UR - https://classiques-garnier.com/cahiers-valery-larbaud-2024-n-60-valery-larbaud-et-les-mondes-espagnol-et-hispano-americains-nouvelles-approches-critiques-le-domaine-alicantin-de-valery-larbaud.html Y2 - 2024/07/12 ER -