Résumé : Faut-il en finir avec l’anthropomorphisme ? Il apparaît difficile de répondre de manière simple à cette question qui conduit à interroger en profondeur la pensée du vivant qui se fait jour à travers la littérature depuis le début du XXe siècle. La perspective écocritique adoptée ici conduira donc à prendre la mesure des sources qui ont mené au renouveau contemporain de la manière d’envisager les rapports entre langage humain et monde « muet ».