Résumé : La participation de l'Égypte aux Expositions universelles de 1867 et 1873 a été notoirement brillante, sur les instructions du souverain égyptien. La comparaison des pavillons construits à Paris et à Vienne fait apparaître des différences notables dans les partis pris esthétiques adoptés pour leur construction. La contribution en restitue la raison, avec l'hypothèse qu'elle tient pour partie à des effets de connaissance, déterminés par une familiarisation accrue avec les monuments du Caire après 1868.