Résumé : La grande leçon de Longin est qu’il faut penser à la fois l’unité et la dualité du sublime : nature et art, mais aussi rupture et instauration, dessaisissement et saisissement, goût de la nature et goût de l’art. Le sublime nous fait comprendre l’étroitesse et la fausseté des clartés convenues, pour nous permettre d’expérimenter le réel et de nous y arrimer.
Thème CLIL : 3154 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Linguistique, Sciences du langage -- Stylistique et analyse du discours, esthétique