Résumé : Rose fut le prénom de l’aimée de Różewicz ; elle fut assassinée par les nazis. Dès lors, une quête permanente d’expression de la réalité innommable hanta le poète et « Rose », « fleur que l’on dépose au creux de la main et jeune fille que l’on dépose en terre », fonctionna comme une synecdoque de l’holocauste. Dans ce texte tardif du poète, la femme est celle qui offre la rose dont la beauté inquiétante se refuse au poète. L’univers poétique et le monde réel ne peuvent pas se rejoindre.