Résumé : Tout en n’étant pas autobiographique, Le Dit de Tianyi de François Cheng fournit beaucoup d’éléments de témoignage, il est un « roman de l’artiste ». Observateur des visages, François Cheng s’en est bientôt fait le contemplateur et le poète. Le présent article s’emploie à développer et étayer ce constat, non sans tenter d’expliquer un phénomène qui est loin de s’arrêter à la curiosité, ou même à l’intérêt d’un amateur d’art éclairé.