Résumé : Le temps a toutes sortes de valeurs selon Valère Novarina : valeurs traditionnelles, chez lui généralement négatives ; valeurs nouvelles d’un temps hors-temps, cosmique, suprahumain et fortement teinté d’eschatologie chrétienne. Le temps est, par l’excès même d’une fragmentation due aux multiples modes d’écriture, en passe d’immobilisation, corrigée, pour le spectateur, par le mouvement de la représentation, pour le lecteur par le rythme subjectif qu’il impose à sa lecture.