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Classiques Garnier

Table des matières

373

Table des matières

Préface   9

Introduction   17

Première caractérisation du contexte économique
de la production de peintures au Cinquecento   18

Questions de méthodologie   30

Principaux développements de louvrage   37

PREMIÈRE PARTIE

PRÉCURSEURS ET PREMIÈRES TENTATIVES

Premières intuitions au xixe siècle   45

Les noces polémiques de lart et de léconomie
chez John Ruskin   45

Léconomie de la peinture comme terra incognita :
portée et limites de Jacob Burckhardt pour le sujet   52

Lapport décisif de la sociologie non marxiste
au tournant du xxe siècle   57

Émergence dune classe de loisir et consommation
ostentatoire chez Thorstein Veblen   58

Luxe privé et naissance du capitalisme au xvie siècle
selon Werner Sombart   64

374

Des pistes de recherche au milieu du xxe siècle
demeurées sans descendance    73

Un chemin resté peu approfondi : lherméneutique
marxiste et lhistoire de la peinture du Cinquecento    74

Un « chemin qui ne mène nulle part » : la querelle
décliniste des années 1950 sur les dépenses artistiques    83

Martin Wackernagel, Un pionnier resté au seuil
de notre sujet    99

Un historien du xve siècle qui éclaire lhistoire sociale
de lart du xvie siècle   100

Un héritage méthodologique de premier ordre   103

DEUXIÈME PARTIE

HISTOIRES DETHOS DE LA DEMANDE
PRIVÉE DE PEINTURES AU CINQUECENTO

Ostentation et luxe privé

Les historiens de la fin du xxe siècle sur la culture matérielle
et la demande privée de peintures au Cinquecento   109

Études historiques sur lappréciation de la richesse
ostentatoire vers la fin du Quattrocento   110

Études dun essor au xvie siècle italien dun goût pour
la « splendeur » privée et dune demande privée
de peintures   124

Lessor quantitatif de la demande privée
de peintures au Cinquecento   145

Apport dune analyse économique

Les motifs extrinsèques de consommation,
du contexte social aux prolongements formels   169

La distinction en économie de la consommation
entre « effet Veblen » et « effet de snobisme »   170

375

Leffet de snobisme des économistes et la peinture
maniériste des historiens   177

La question distincte et complémentaire
de l« effet de mode »   186

Dautres motifs de consommation de peintures privées
à explorer au Cinquecento ?   193

Conclusion   201

TROISIÈME PARTIE

LOFFRE DE PEINTURES
AU XVIe SIÈCLE ITALIEN

Émergence dune offre de peintures conçues comme
des biens homogènes et destinées à un « marché »   217

Une tactique de vente de « peintres-entrepreneurs »   217

Des gains de productivité de loffre de peintures a priori globalement significatifs   225

Des formes organisationnelles de marché relativement
peu développées pour la peinture du Cinquecento   242

La production de peintures comme œuvres uniques

Défaillance de marché, régulation de la qualité
et théorie des jeux   255

Revendication de la peinture comme œuvre unique
et problème dasymétrie dinformation   257

Le débat sur linfluence des guildes sur la peinture
italienne du xvie siècle   270

Peintres et commanditaires au prisme
de la théorie des jeux   303

Conclusion   335

376

Conclusion générale   339

Remerciements   347

Bibliographie   349

Index des thèmes et notions   369

Index des noms 371