Résumé : La pénurie de travailleurs qualifiés et la crise de l’apprentissage constituent un souci constant des métallurgistes dans une branche essentielle aux deux premières industrialisations. Compte tenu des enjeux financiers et sociaux et de sa volonté de laïcisation, l’État républicain s’implique alors de plus en plus, aux côtés de l’UIMM et de la Chambre syndicale des industries métallurgiques du Rhône. L’application de la loi Astier permet alors de cerner la position patronale sur la formation.