Résumé : On explore ici quelques aspects des Matines de la Vierge délaissés par les études précédentes : la façon dont Martial d’Auvergne intègre les avancées conceptionnistes dans son œuvre, la façon dont il popularise la référence au Psaume 41 et son association à Marie ; surtout, on montre comment son œuvre poétique s’inscrit en contrepoint comme en continuité avec les Heures latines et les diverses œuvres de dévotion mariale, accompagnant la prière sans la diriger.