Résumé : Dans les années 1990, les traducteurs chinois en œnologie ont été confrontés à plusieurs difficultés, dont la différence de conception du goût, le manque de moyens lexicographiques et le manque de connaissances œnologiques. Les traductions donnaient alors priorité à l’équivalence formelle. Le long processus d’implantation de la terminologie se reflète aujourd’hui dans les stratégies de traduction par un rééquilibrage entre équivalence formelle et équivalence fonctionnelle.