Résumé : En 1838, Théophile Gautier a été le premier critique à révéler l’existence d’une partie méconnue de l’œuvre de Victor Hugo : ses dessins. Quatorze ans plus tard, il en reparle dans un simple paragraphe du bel article sur la vente du mobilier de l’exilé ; encore dix ans plus tard, il publie un avant-propos à l’unique album de dessins publié du vivant de Hugo. Le génie de Hugo se révèle à travers toutes les formes d’expression. C’est pourquoi Gautier s’enthousiasme des dessins d’un poète qui « est aussi un peintre ».