Résumé : Apparu dans les années 1840, le mélodrame social fédère un répertoire tendu vers le désir de mettre en acte sa réflexion sur la récente visibilité de la question sociale. Contant, à grand renfort de ficelles lacrymales, les multiples infortunes d’une couturière, Marie-Jeanne a certes le mérite d’éclairer cette question à la lumière de la condition féminine ouvrière ; cependant, cette pièce se singularise aussi par l’équivocité de sa représentation du peuple comme de la femme.