Résumé : Cet article analyse par comparaison intersémiotique avec l’architecture à la période romantique, comment l’intérêt pour le théâtre élisabéthain a pu exprimer une sensibilité en quête de changement et d’idéal. La musique des romantiques, en s’inspirant du théâtre anglais et shakespearien, va chercher à établir un lien entre un xixe siècle qui ne peut pas prolonger l’histoire culturelle dont il hérite et des sources oubliées, un Moyen-Âge et une Renaissance, synonymes de liberté et d’invention.