Résumé : La reconstitution historique en costumes d’époque de la deuxième partie d’Illusions perdues : Un grand homme de province à Paris, exposait Xavier Giannoli au soupçon d’académisme. Mais le souci minutieux des décors et des dialogues, la direction d’acteurs et le rythme effréné instaurent une vision presque fantastique : le regard halluciné de Lucien devant une réalité si différente de ses illusions propose une « comédie humaine » dans sa saisissante actualité, préservant le film de tout académisme.