Résumé : Cette contribution revient sur un stylème que G. Genette avait jadis qualifié de balzacisme, à savoir le tour désignatif X, cet Y de Z. Après une description formelle de la tournure, susceptible d’en faire apparaître les enjeux stylistiques, nous nous penchons sur des exemples tirés de La Comédie humaine et analysons notamment la valeur didactique et hyperbolique de la désignation, ainsi que son apport à la consolidation de l’univers romanesque et à la construction d’un effet de point de vue.