Résumé : L’analyse des symptômes de multiples personnages ayant une maladie cutanée ou une tare congénitale et de leur caractère morbide montre que Le Curé de village, roman jugé édifiant, est un roman ambigu : s’y reflète le glissement d’un discours moral vers un discours médical sur la petite ou grosse vérole à une époque où la recherche était encore tâtonnante et où toute une littérature s’empare du sujet par des voies détournées.