Résumé : L’analogie posée dans l’« Avant-propos » entre « Espèces sociales » et « Espèces zoologiques » a des conséquences décisives sur la conception balzacienne des corps, à la fois humains et animaux. Cet article interroge la visibilité et la matérialité des corps animaux dans l’œuvre de Balzac, romans réalistes et apologues anthropomorphiques confondus, pour voir s’ils font l’objet d’une perception, d’une lecture ou d’une interprétation particulières.