Résumé : Les articles de politique extérieure (« Lettres sur Paris » dans Le Voleur, « Étranger » dans la Chronique de Paris, « Lettres russes » dans la Revue parisienne) constituent un corpus balzacien peu étudié, un envers terne de La Comédie humaine. Ils mettent pourtant à nu l’évolution politique de l’auteur, qui passe de la condamnation libérale du congrès de Vienne à la critique de l’entente cordiale avec l’Angleterre au profit d’une alliance avec la Russie.