Résumé :Illusions perdues met en scène la naissance des « fake news » : le journal entre en relation avec le commerce, l’hypocrisie et la lâcheté. En même temps, dans la préface de la troisième partie du roman, Balzac met la presse écrite au rang des grands défenseurs des libertés. Comment réconcilier la thèse du roman avec la réponse du romancier au député Chapuys-Montlaville ? Comment Balzac entend-il le statut du roman dans l’ère de la littérature industrielle ?