Résumé : Cet article explore l’adaptation de l’œuvre de Balzac à la télévision britannique en utilisant la version d’Eugénie Grandet du réalisateur Rex Tucker comme cas d’étude illustratif. L’analyse de cette série révèle la façon dont l’esthétique claustrophobe du petit écran s’est révélée adaptée à l’intérêt artistique de Balzac pour la notion de confinement spatial. L’article examine aussi la décision de la BBC de diffuser cette série quand la figure de l’avare était déjà incontournable dans le personnage de Scrooge de Dickens.