Résumé : Les origines que Mistral donne aux noms de Mirèio, Nèrto et felibre expriment son intérêt pour la culture judaïque de Provence, tout comme la section dédiée à cette culture au sein du Museon Arlaten. Au moment de l’affaire Dreyfus, toutefois, Mistral reste prisonnier de son désengagement de la vie politique nationale.