Résumé : L’œuvre littéraire de Mistral, à l’exception de quelques grands apports critiques (A. Thibaudet, J. Boutière, Ch. puis Cl. Mauron, R. Lafont, J-Y. Casanova…) et d’articles remarquables, a cruellement manqué de « vrais » lecteurs, dépourvus de préventions (enfermement linguistique et régionaliste) et disposés à se laisser entraîner dans un imaginaire singulier, d’une force hors du commun.