Abstract: Alors que la première Épître de l’Amant vert, destinée à Marguerite d’Autriche, est chargée d’allusions personnelles, Lemaire manifeste dans la seconde une plus grande ambition littéraire, ce qui correspond à la prise en compte d’un public plus large, notamment celui de la cour de France, qu’il rejoindra bientôt. Lorsque ces deux épîtres sont publiées, à la suite des Illustrations, elles acquièrent à la fois un nouveau public, amateur d’histoire, et des échos personnels et politiques inédits.