Résumé : L’illégitimité de Louise de Marillac, connue de son vivant, avait été tue par N. Gobillon († 1706), son unique biographe. Lors de son procès de canonisation, quelques témoins déposent, en secret, pour réfuter cette illégitimité qu’un historien avait redécouverte quelques années auparavant. Pour cela, ils s’appuient principalement sur le texte de Gobillon, littéralement « canonisé ». Louise de Marillac sera proclamée sainte en 1934 sans que la vérité soit faite sur les conditions de sa naissance.