Résumé : Cette contribution se penche sur deux pièces possédant un arrière-plan diplomatique véritable. Il s’agit donc d’observer le cadre diplomatique réaliste et les ambassadrices imaginaires d’une diplomatie conjugale dans la comédie hybride de Cervantès intitulée La Grande sultane Catalina de Oviedo et la tragicomédie de William Shakespeare, Le Conte d’hiver. Le but en sera de voir comment la modification des personnages dramatiques féminins par le trope diplomatique permet une réflexion le gouvernement et sur la parole diplomatique.