Résumé : Les romans de la deuxième moitié du xviiie siècle montrent un intérêt croissant pour le thème national. Cette production romanesque de « goût national » vise moins à critiquer les défauts des différents peuples de notre continent qu’à les signaler pour les corriger. Un des éléments qui apparaît de manière récurrente est la promenade. Faisant partie des coutumes communes aux nations européennes, elle peut s’avérer salutaire ou, au contraire, pernicieuse, selon sa nature…