Résumé : Dans Napoléon Bonaparte et Richard Darlington, l’esthétique dumasienne de l’espace est marquée par une même tendance à animer l’Histoire et les histoires par la multiplication et la juxtaposition des décors et par le mouvement des corps dans et à travers l’espace. Symboles d’ambition et d’impermanence, de triomphes et de défaites, les lieux sont les signes d’une esthétique qui reconnaît et reproduit l’instabilité des institutions et des idéologies dans la période postrévolutionnaire.