Résumé : Durant la période comprise entre Les Taches d’encre et Les Déracinés, Barrès défend une création littéraire déracinée, fruit d’un moi enrichi par les voyages et par les œuvres étrangères. Si l’éloge de la culture cosmopolite est l’occasion de réactiver des grands principes humanistes, le cas des arts allemands en montre cependant les limites : la haute culture ne parvient pas tout à fait à gommer les blessures de guerre.