Résumé : Jean Lorrain, n’a pas fait du Vice errant un roman « du cosmopolitisme », c’est-à-dire un roman à thèse sur les effets dissolvants du cosmopolitisme, mais un roman qui essaie de fonder une esthétique cosmopolite, où la profusion des références artistiques propose une symbiose sur le modèle végétal. Cette conception de la littérature montre la conscience du caractère inévitable des transferts culturels dans l’art au tournant du xxe siècle.