Résumé : L’exploration critique, postcoloniale, du lien entre littérature et identité nationale, peut se comprendre comme une nouvelle forme de cosmopolitisme. Il s’opposerait ainsi au cosmopolitisme du premier xxe siècle, qui, en tant qu’il repose sur la croyance dans la nation, est en réalité un internationalisme ; le nouveau cosmopolitisme, au contraire, ne produit pas une littérature mondialisée, mais fait des questions d’identité son objet majeur.