Résumé : Inscrits dans les littératures de l’imaginaire, Les Furtifs d’Alain Damasio et Hastrman de Miloš Urban jouent de l’isotopie de l’enchantement. Parallèlement, ces récits s’affirment comme des fictions écologiques. Cet article étudie les modalités de la construction imaginaire lorsqu’elle est liée à l’irréel de la postérité gothique en montrant comment elle constitue un biais littéraire efficace pour interroger l’homme contemporain devant et dans la nature.