Résumé : L’article expose le rapport respectueux et harmonieux que Jean-Loup Trassard entretient avec la nature. L’optique non-humaine et une lecture post-humaine se manifestent à travers le style minutieusement travaillé de l’auteur, où les clichés en tant qu’éléments narratifs transmettent une vision haptique. La photo devient le témoin du déclin des fermes, le déclin de la civilisation rurale, d’une culture élaborée en contact physique et matériel avec la nature.