Résumé :Valet noir, essai de Jean-Christophe Cavallin, propose une approche des récits d’immanence susceptibles d’exprimer les relations profondes, refoulées par la nature, entre les humains et elle. L’article expose combien non seulement les mythes, les contes, certains récits lumières d’anticipation, la poésie, outre, bien sûr, les études naturalistes, mais encore les romans, genre protéiforme, expriment diversement les rapports entre nature et humains, la première n’étant pas envisageable hors des seconds.