Résumé : Après avoir retracé la naissance du « post-exotisme » dans l’écologie politique et la littérature des années 1970, Antoine Volodine inventorie la faune et la flore de ses récits pour préciser la teneur de cet « humour du désastre », la différence entre post-exotisme et littérature catastrophique, ou encore le sens de ses créatures. Il insiste sur les personnages féminins et débat du rapport de ses êtres (ex : les personnages-oiseaux), aux notions de zoomorphisme ou d’anthropomorphisme.