Résumé : La Nature est ici envisagée dans la perspective de l’épistémocritique qui interroge l’usage que la littérature fait des savoirs qui en ont développé le concept. Dans l’interstice entre l’idée d’une nature totalement « culturelle » et celle d’une culture « naturelle », cette étude analyse notamment le rôle de la chimie chez Goethe, des technosciences dans l’émergence du « posthumain » en littérature ou encore les interactions complexes entre le savoir du paysage, les arts et la géographie.