Résumé : Dans Monsieur Lecoq ou Le Dossier no 113 s’esquissent des relations entre romanesque et ville qui ne sont certes pas propres au roman d’Émile Gaboriau ni sans doute au genre policier. Mais elles montrent bien comment l’intrigue se déploie dans un espace urbain labyrinthique, combien aussi le romanesque de la filature ou de la poursuite nourrit une forme de réalisme oblique, enfin en quoi l’enquête policière déborde la seule exploration de l’espace.