Résumé : Le roman français n’est plus qu’un modèle parmi d’autres depuis les années 1960, en Amérique latine. Des écrivains comme Alejo Carpentier et Mario Vargas Llosa continuent de s’y référer. Opposé au roman psychologique comme au formalisme du Nouveau Roman, le premier opère des choix idéologiques très conscients des autres genres qui influencent le romanesque. Vargas Llosa a étudié de près les procédés de Hugo et Flaubert, faisant passer sa subjectivité avant des considérations sociohistoriques.