Résumé : Passant au crible le postulat, que l’auteure retrouve dans la citation de Stendhal qui donne son nom à l’essai, d’une antinomie du politique et du littéraire, cet article s’inscrit en faux par rapport à un réalisme humaniste duquel le politique et certains de ses tropes privilégiés – narrateur collectif, récit non disqualifiant de l’expérience militante, etc. – seraient indûment exclus.